Orlan (see reference below); Archive; Images from Kurt Cobain: Montage of Heck (Brett Morgen, USA 2015); Baphomet in Raul Ruiz' L'Hipothèse du tableau volé (France, 1979);
"Mais lâchez-la, votre virilité!" (Sandrine Rousseau/Le Media, Septembre 2022)
Coût de la virilité: comment les hommes ruinant la société (Lucile Peytavin, Salomé Saqué/Blast, fev. 2022);
Judith Butler New Conversation with Dr. Dwight A. McBride (New School/Youtube);
The 2021 Holberg Debate on Identity Politics (Judith Butler, Cornel West, Glenn Greenwald, Simon Critchley);
L'évangile d'après salò (by A/Z) [I took this video out of Youtube, because I wanted to change it];
Difference and Repetition: the Potentiality of the Unconscious, Language & Art (by A/Z) [I took this video out of Youtube, because I wanted to change it];
Rita Lee's Chega Mais & Pega Rapaz;
Lotic - Hunted;
Tommy Cash - Little Molly;
Tommy Cash - Winaloto;
India Salvor Menuez's Nothing is Beautiful;
Cosey Fanni Tutti's All My Work is from Life;
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Foundation (that is, nine parts in ten of a man sense of his nonsense, which indeed had never, ever and anon, been thought of at all in this scurvy and disasterous world of ours, and out of which no after-wit can extricate thee):
Cortázar
"... il est un problème particulier qui n'a pas cessé de préoccuper Nietzsche et c'est celui de l'acteur. Ainsi lisons-nous dans Le gai Savoir, aphorisme 361: La fausseté en bonne conscience: le plaisir à la simulation, explosant comme puissance, refoulant le soi-disant caractère, le submergeant parfois jusqu'à l'éteindre; l'intérieur désir de prendre un masque et d'entrer dans un rôle, dans une apparence; un excédent de facultés d'adaptation de toutes sortes, qui ne savent plus se satisfaire à servir l'immédiate, stricte nécessité... nous apercevons du coup ce qui menace chez Nietazsche lui-même: d'abord la simulation explosant comme puissance jusqu'à submerger, jusqu'à éteindre le soi-disant caractère: ce qui point ici c'est la pensée que la simulation n'est pas seulement un moyen, mais bien une puissance, donc qu'il y a irruption de quelque chose d'incompatible avec le soid-disant caractère... On croit choisir librement d'être ce que l'on est, mais on est, en fait, contraint de jouer un rôle, n'étant pas ce que l'on est; donc de jouer le rôle de ce que l'on est hors de soi. On n'est jamais là où l'on est, mais toujours là où l'on n'est que l'acteur de cet autre que l'on est. Le rôle représente ici le fortuit dans la nécessité du destin..."
"... car comment le pauvre Van Gogh y aurait-il fait pour s'éclairer?"
Artaud (Van Gogh le suicidé de la société)
"Si te metés en lo oscuro yo creo que no se encuentra nada, no se ve ya más donde pisás, ni tus propios pies. Ni las manos."
Luci (Cae la noche tropical)
"... dans un tableau de Rembrandt l'ombre est un avatar fatal et grandiose de la lumière: son obscurcissement. Les 'ombres' sont de couches spatiales que le faisceau lumineux de la conscience n'atteint pas... les apparitions lumineuses (et leur commotion) sont toujours menacées ou frangées avec plus ou moins de transparence ou d'épaisseur par l'impénétrable — par l'irrévélé."
André Masson (La Lumière de Rembrandt/Écrits, anthologie établie par Françoise Levaillant)
"Como poderia a galinha se entender se ela é a contradição de um ovo?"
Clarice Lispector (O Ovo e a Galinha)
"... a única verdade é que vivo... Quem sou? Bem, isso já é demais. Lembro-me de um estudo cromático de Bach e perco a inteligência."
Clarice Lispector
Clarice Lispector
"Anything I know about 'me' is in the past. The present 'me' is the unknown. We say there is only one implicate order, only one present. But it projects itself as a whole series of moments."
David Bohm (interview)
"'And who are you?' said he. 'Don't puzzle me', said I."
Tristram Shandy
"... não sei o que está dentro do meu nome."
Macabéa
"'L'emploi du nom propre est chez eux [les Nambikwara] interdit', note Lévi-Strauss... cette prohibition est nécessairement dérivée au regard de la rature constituante du nom propre dans ce que nous avons appelé l'archiécriture... le nom propre n'a jamais été possible que par son fonctionnement dans une classification et donc dans un système de différences... Cela est d'ailleurs strictement accordé à une intention de Lévi-Strauss. Dans 'Universalisation et particularisation', il sera démontré qu'on ne nomme jamais, on classe l'autre... ou on se classe soi-même."
Jacques Derrida (De la grammatologie)
"There have been attempts to pigeonhole us and make us into a kind of brand, but these attempts have failed miserably."
Lol Tolhurst (Cured: the tale of two imaginary boys)
Lol Tolhurst (Cured: the tale of two imaginary boys)
"... and if a mirror looks into a mirror, what is there to see?"
"I never fall apart because I never fall together."
"I never fall apart because I never fall together."
Warhol
"Pour ma part, je suis toujours tiraillé entre le désir de peindre et celui d'écrire."
Anselm Kiefer
“Don Rodrigo nunca saiu de Santa Fé. Me refiro ao Rodrigo verdadeiro, o do Retrato...”
“Don Rodrigo nunca saiu de Santa Fé. Me refiro ao Rodrigo verdadeiro, o do Retrato...”
Don Pepe
"Il faudrait le regard de Warhol pour découper les petites différences de ces images moulées par la chaîne Renault du snobisme fatigué... la mâchoire carnassière de Mme Bigorre, les cheveux crissant de migraine de Catherine Maille... Je m'accroche à de signes, je braque les yeux sur les pas de ma mémoire pour échapper à ce qui m'entoure et qui est sans mémoire."
Joëlle (Les Samouraïs)
Joëlle (Les Samouraïs)
"... é raríssimo que as fotografias saiam parecidas, e isso é compreensível: o próprio original, isto é, cada um de nós, é parecido consigo em casos extremamente raros. Só em raros instantes o rosto humano traduz seu traço essencial, seu pensamento mais característico. O pintor estuda o rosto e nele adivinha esse pensamento essencial, mesmo que este esteja de todo ausente do rosto no momento em que ele o retrata. Já a fotografia surpreende o homem como ele é, e é bem possível que em algum instante Napoleão saísse mais tolo e Bismarck mais meigo..."
Viersílov (O Adolescente, tradução de Paulo Bezerra)
"Pour se servir de son affectivité comme le lutteur utilise sa musculature, il faut (au acteur) voir l'être humain comme un Double, comme le Kha des Embaumés de l'Égypte, comme un spectre perpétuel où rayonnent les forces de l'affectivité..."
A. Artaud (Un athlétisme affectif)
"A tous les tournant de chemins on voit des arbres brûlés volontairement en forme de croix, ou en forme d'êtres, et souvent ces êtres sont doubles et ils se font face, comme pour manifester la dualité essentielle des choses..."
A. Artaud (D'un voyage au pays des Tarahumaras)
"Es giebt einen einzigen Fall, wo ich meines Gleichen anerkenne — ich bekenne es mit tiefer Dankbarkeit. Frau Cosima Wagner ist bei Weitem die vornehmste Natur; und, damit ich kein Wort zu wenig sage, sage ich, dass Richard Wagner der mir bei Weitem verwandteste Mann war… Der Rest ist Schweigen…"
Nietzsche (Ecce Homo)
"Tout ce qui existe a une origine magique et provient de l'imagination, c'est-à-dire de l'entrée de l'imagination dans des miroirs... ce que les Hébreux appellent Sophia, les Indous Maja, les Grecs Idea, correspond au même concept de reflet (Spiegelung; speculatio): Boehme disait que Dieu imagine dans la Sophia... puissance plastique..."
Antoine Faivre, "De la Naturphilosophie romantique aux mouvances occultistes" (Accès de l'ésotérisme occidental, tome II)
"Le futur sujet se constitue dans une dynamique d'abjection dont la face idéale est la fascination."
J. Kristeva (Le génie féminin 2)
"... vagabonde, inquiète, rebelle et entêtée..."
Felipe Sega/Sylvia Leclercq
"Byars spent that summer in Sicily in search of a suitable stone for his tomb."
Viola Michely
"... the obvious stiffness of his left knee, his awkward physique, his dumbfounded expression..."
Panofsky
"She would show up at the welfare office to get her welfare check in ostrich feathers and false eyelashes."
Lee Childers (on Holly Woodlawn, Please Kill Me)
"Perhaps your belt is too wide or your shoes are too pointy."
James St. James
"I'm not Molly—she was much fatter!"
eine grosse Sünderin
"Es una lástima que te hagas una idea tan pacata de la vanidad."
Oliveira/Cortázar
"Que pele, que nada, ela o comeria, isso sim, às colheradas no pote mesmo."
Clarice Lispector (A Hora da Estrela)
"Charm: the lever that turned the world..."
John Ellis/Andrew Pickering
"Shingon is profound because it expounds the shallow as profound."
Myoe (Mark Unno, Shingon Refractions)
"In some circles where very heavy people think they have very heavy brains, words like 'charming' and 'clever' and 'pretty' are all put-downs; all the lighter things in life, which are the most important things, are put down."
Warhol
"... ce bruit de cuiller sur une assiette, cette raideur empesée de la serviette m'avaient été plus précieux pour mon renouvellement spirituel que tant de conversations humanitaires, patriotiques, internationalistes et métaphysiques."
Marcel Proust (le narrateur)
"A man cannot dress, but his ideas get cloath'd at the same time; and if he dresses like a gentleman, every one of them stands presented to his imagination, genteelized along with him—so that he has nothing to do, but take his pen, and write like himself."
Tristram Shandy
"Et l'oubli d'un étant (par exemple le parapluie) serait-il incommensurable à l'oubli de l'être?"
Derrida (Éperons)
"Diese kleinen Dinge — Ernährung, Ort, Klima, Erholung, die ganze Casuistik der Selbstsucht — sind über alle Begriffe hinaus wichtiger als Alles, was man bisher wichtig nahm."
"Dies ist die fremdartigste 'Objektivität', die es geben kann: die absolute Gewißheit darüber, was ich bin, projicirte sich auf irgend eine zufällige Realität, — die Wahrheit über mich redete aus einer schauervollen Tiefe."
Nietzsche (Ecce Homo)
"Nicht ruiniert tiefer, innerlicher als jede 'unpersönliche' Pflicht, jede Opferung vor dem Moloch der Abstraktion."
Nietzsche (Der Antichrist)
"Différence engendre haine."
Nietzsche/Deleuze
"And to lubricity and indiscretion had been added the graver sin of uppishness."
Huxley (Devils of Loudun)
The New Saying
"... l'envie... le pire des péchés, puisqu'elle s'oppose à la vie même..."
J. Kristeva (Le génie féminin 2)
"... le difficile pour toute chose est d'atteindre à son propre simulacre, à son état de signe..."
Gilles Deleuze (Différence et répétition)
"Sie haben aus den mächtigen, sehr frei geratenen Gestalten der Geschichte Israels, je nach Bedürfnis, armselige Ducker und Mucker oder Gottlose gemacht..."
Nietzsche (Der Antichrist)
"One day I looked at what I was doing, and I said it's just as interesting as what they are doing."
De Kooning about Léger (quoted in Rosalind Krauss's The Optical Unconscious)
"... encore qu'il n'y ait point de vertu à laquelle il semble que la bonne naissance contribue tant qu'à celle qui fait qu'on ne s'estime que selon sa juste valeur..."
Descartes (Les passions de l'âme)
"... o que você sentiu... talvez tenha sido apenas à custa de não ter opinião precisa sobre os grandes homens..."
Clarice Lispector/o professor (Perto do Coração Selvagem)
"... o que você sentiu... talvez tenha sido apenas à custa de não ter opinião precisa sobre os grandes homens..."
Clarice Lispector/o professor (Perto do Coração Selvagem)
"... only the aristoi... the others, content with whatever pleasures nature will yield them, live and die like animals. This was still the opinion of Heraclitus..."
"Power corrupts indeed when the weak band together in order to ruin the strong..."
Arendt (The Human Condition)
"... the basically passive astonishment, the enthralling secret knowledge..."
Warhol
"And so he stayed by the tents with the women, and traced strange devices with a burnt stick upon a gourd."
Whistler
"Dee Dee was stealing all my mother's jewelry, her clothes, her makeup, and her scarves, which created even more fights between them. She would flip out when she saw all her clothes were missing. That was another reason I didn't like glitter—it just created more fights at home."
Mickey Leigh (Please Kill Me)
"If a person does not have this feminine quality that allows the idea to come into the proper relation to him, which is always to impregnate, then he will not be fit to be an observer, because he who does not discover the whole, really discovers nothing... Despite the fact that you are an imaginary person, you are in no way a multiplicity, but only one, so there is only you and I."
"... le point où se trouve un Charlus par rapport au désir fait naître atour de lui les scandales, le force à prendre la vie sérieusement, à mettre des émotions dans le plaisir, l'empêche de s'arrêter, de s'immobiliser dans une vue ironique et extérieur des choses..."
Marcel Proust (le narrateur)
Marcel Proust (le narrateur)
"Quand Loki vit cela, cela lui déplut. Il alla trouver Frigg sous les traits d'une femme..."
Gylfafinning (traduction Dumézil)
Warhol
"And so he stayed by the tents with the women, and traced strange devices with a burnt stick upon a gourd."
Whistler
"Ve que uno de los yagunzos se inclina, coge el sexo ahora chato y minúsculo del soldado, se lo corta de un tajo y, con el mismo movimiento, se lo embute en la boca."
Mario Vargas Llosa (La guerra del fin del mondo)
"Le président Schreber, qui partage avec Léonard et l'Homme aux loups un fort investissement de l'analité, une passivation féminine et un intérêt plus ou moins exalté pour la religion, retire sa libido des objets pour la placer dans son propre moi..."
J. Kristeva (Le génie féminin 2)
"J'avai cru comme le calife des Mille et Une Nuits arriver à point au secours d'un homme qu'on frappait, et c'est un autre conte des Mille et Une Nuits que j'ai vu réalisé devant moi, celui où une femme, transformée en chienne, se fait frapper volontairement pour retrouver sa forme première."
Marcel Proust (le narrateur)
Marcel Proust (le narrateur)
"... une délicatesse d'épiderme et une distinction d'accent, une espèce d'androgynéité, sans lesquelles le génie le plus âpre et le plus viril reste, relativement à la perfection dans l'art, un être incomplet... le goût précoce du monde féminin, mundi muliebris, de tout cet appareil ondoyant, scintillant et parfumé, fait les genies supérieurs..."
Baudelaire (Les Paradis artificiels)
"La 'femme' ne croit pas davantage à l'envers franc de la castration, à l'anti-castration. Elle est trop rusée pour cela... Or la 'femme' a besoin de l'effet de castration, sans lequel elle ne saurait séduire ni ouvrir le désir — mais évidemment elle n'y croit pas... des experts en simulation, les Juifs et les femmes..."
"Et nos artistes ne sont en effet que trop apparentés aux petites femmes hystériques! Mais ceci parle contre l'aujourd'hui et non pas contre l'artiste..."
"... ce philosophe est femme: femme stérile, bien sûr, et non 'männliche Mutter'..."
Derrida (Éperons)
Mickey Leigh (Please Kill Me)
Constantine Constantius (translation M. G. Piety)
"Many a time he has felt himself in the presence of Sidne, the Esquimaux Demeter, he has divined it by the shiver which ran through his veins, by the tingling of his flesh and the bristling of his hair... He sees stars unknown to the profane... At last his own Genius, evoked from the bottomless depths of existence, appears to him... Uniting himself with the Double from beyond the grave, the soul of the angakok flies upon the wings of the wind..."
Elie Reclus, quoted in Edward Carpenter's Intermediate types
"Para quem continua não achando o corpo bonito, ele conseguiu resultados surpreendentes: o antigo monstro transformou-se, no decorrer de quase vinte anos de carreira, num símbolo de sensualidade extrema, pelo qual suspiram pessoas das mais diferentes idades. Para ele, no entanto, tudo se credita à magia do palco, um lugar que concentra e possibilita a movimentação de intensas energias: ‘através do palco, consegui livrar até o carma dos pés,' comenta ele, rindo. ‘A minha vida inteira achei-os tão horrorosos que passaram a representar uma última barreira: eu podia mostrar tudo menos os pés. Nunca deixaria alguém reparar neles. Certa vez, no meio de uma conversa com o Paulinho Mendonça, um grande amigo meu, ele observou como meus pés eram feios. Brincando, respondi que ele ainda ia ver as pessoas beijarem meus pés e os acharem lindos. Pois não é que no Canecão isso cansou de acontecer?... uma mulher, uma noite, beijou meu pé no palco e depois do show, foi ao camarim e falou que eu tinha o pé mais lindo que ela já havia visto. Nossa! Quase morri de vergonha! Senti uma vergonha tão grande que só consegui murmurar que ele era muito feio. Aí a mulher o olhou de novo, e eu percebi que, naquela hora, ela também o achou feio. O encanto do palco já havia terminado.'"
"'Para mim, fantasia sempre foi na cara, e, como não incluo o corpo nesse conceito, só me sinto fantasiado quando estou com a cabeça enfeitada. A coragem para exibir tanto o físico decorria exatamente do fato de ter sempre a cara pintada. Não era eu, e, sim, um personagem, um ser criado por mim. Como não aparecia o meu rosto, eu conseguia brincar com o corpo. Talvez por essa razão tenha demorado tanto tempo para me apresentar sem máscaras. A primeira vez que pisei num palco com a cara totalmente limpa (durante o projeto À Luz do Solo, em 86, no Copacabana Palace) me deu uma tremedeira tão grande que vi que iria bambear se tentasse escondê-la, porque ela ficaria incontrolável. Cantei a primeira música, parei e falei para as pessoas que estava muito nervoso e me sentindo um ET de terno. Aí todo mundo achou graça, e isso descontraiu o ambiente e relaxou um pouco a minha tensão. Mas ainda fiz o espetáculo inteiro sem saber onde colocar as mãos. Quase um ano depois, quando realizei o Pescador de Pérolas... já possuía o domínio da situação e do que deveria fazer, porque havia percebido que também existia um personagem...'"
"Quando [Ney] começa a falar nas possibilidades de luzes, cores, sombras, os olhos brilham e a animação toma conta da voz... A primeira vez que morou no Rio, dividiu um apartamento com um amigo que trabalhava na Sala Cecília Meireles e que acabou arrumando um emprego pra ele: fazer a luz para os acontecimentos que pintassem na Sala. Com pouquíssimos refletores, a curtição era inventar formas variadas de iluminação com recursos tão limitados... 'É a luz que dá o salto e cria toda mágica de um espetáculo.'"
"'Sempre senti que muita gente me permitia uma passagem muito íntima e que eu mexia com setores até inconscientes, o que fazia com que as pessoas recebessem santo no meio dos meus shows.'"
"Para quem continua não achando o corpo bonito, ele conseguiu resultados surpreendentes: o antigo monstro transformou-se, no decorrer de quase vinte anos de carreira, num símbolo de sensualidade extrema, pelo qual suspiram pessoas das mais diferentes idades. Para ele, no entanto, tudo se credita à magia do palco, um lugar que concentra e possibilita a movimentação de intensas energias: ‘através do palco, consegui livrar até o carma dos pés,' comenta ele, rindo. ‘A minha vida inteira achei-os tão horrorosos que passaram a representar uma última barreira: eu podia mostrar tudo menos os pés. Nunca deixaria alguém reparar neles. Certa vez, no meio de uma conversa com o Paulinho Mendonça, um grande amigo meu, ele observou como meus pés eram feios. Brincando, respondi que ele ainda ia ver as pessoas beijarem meus pés e os acharem lindos. Pois não é que no Canecão isso cansou de acontecer?... uma mulher, uma noite, beijou meu pé no palco e depois do show, foi ao camarim e falou que eu tinha o pé mais lindo que ela já havia visto. Nossa! Quase morri de vergonha! Senti uma vergonha tão grande que só consegui murmurar que ele era muito feio. Aí a mulher o olhou de novo, e eu percebi que, naquela hora, ela também o achou feio. O encanto do palco já havia terminado.'"
"'Para mim, fantasia sempre foi na cara, e, como não incluo o corpo nesse conceito, só me sinto fantasiado quando estou com a cabeça enfeitada. A coragem para exibir tanto o físico decorria exatamente do fato de ter sempre a cara pintada. Não era eu, e, sim, um personagem, um ser criado por mim. Como não aparecia o meu rosto, eu conseguia brincar com o corpo. Talvez por essa razão tenha demorado tanto tempo para me apresentar sem máscaras. A primeira vez que pisei num palco com a cara totalmente limpa (durante o projeto À Luz do Solo, em 86, no Copacabana Palace) me deu uma tremedeira tão grande que vi que iria bambear se tentasse escondê-la, porque ela ficaria incontrolável. Cantei a primeira música, parei e falei para as pessoas que estava muito nervoso e me sentindo um ET de terno. Aí todo mundo achou graça, e isso descontraiu o ambiente e relaxou um pouco a minha tensão. Mas ainda fiz o espetáculo inteiro sem saber onde colocar as mãos. Quase um ano depois, quando realizei o Pescador de Pérolas... já possuía o domínio da situação e do que deveria fazer, porque havia percebido que também existia um personagem...'"
"Quando [Ney] começa a falar nas possibilidades de luzes, cores, sombras, os olhos brilham e a animação toma conta da voz... A primeira vez que morou no Rio, dividiu um apartamento com um amigo que trabalhava na Sala Cecília Meireles e que acabou arrumando um emprego pra ele: fazer a luz para os acontecimentos que pintassem na Sala. Com pouquíssimos refletores, a curtição era inventar formas variadas de iluminação com recursos tão limitados... 'É a luz que dá o salto e cria toda mágica de um espetáculo.'"
"'Sempre senti que muita gente me permitia uma passagem muito íntima e que eu mexia com setores até inconscientes, o que fazia com que as pessoas recebessem santo no meio dos meus shows.'"
Denise Pires Vaz & Ney Matogrosso (Um cara meio estranho)
"Como o artista deve responder a um mundo elétrico em que tudo ocorre simultaneamente? Em primeiro lugar, o artista deve tornar patente a existência desse mundo e não se deixar perder pelo interesse na velha maquinaria industrial precedente. Além disso, o artista deve responder evidenciando que esse contexto simultâneo se tornou, ele próprio, uma obra de arte. Pela primeira vez na história da humanidade temos o poder, a energia e a capacidade para programar todo o contexto humano como uma obra de arte. O artista começou a entrar nesse empreendimento com toda uma variedade de 'loucuras' e espetáculos humorísticos — alguns dos quais meros espetáculos de pop art. Se tomarmos um fragmento do contexto e o pusermos dentro de uma galeria de arte, esse é um modo de enunciar que, daqui para diante, o próprio contexto é uma obra de arte — o movimento da pop art tem talvez o mérito de haver demonstrado isso."
Augusto de Campos (Arte e Tecnologia)
"Passou despercebida aos grandes veículos de comunicação a morte de Scelsi, ocorrida em 9 de agosto de 1988. Que eu saiba, nenhum jornal brasileiro sequer a noticiou. É verdade que Scelsi nunca fez muito pela divulgação de suas obras. Não dava entrevistas. Não se deixava fotografar. Nem mesmo se considerava um compositor, afirmando-se, antes, um mero intermediário, 'um instrumento transmissor de alguma coisa maior do que ele', 'um simples carteiro, com as solas gastas, entregando daguerreótipos cheios de sonhos...' Por vezes, nem assinava os seus trabalhos, limitando-se a apor-lhes uma rubrica zen, um simples círculo sublinhado por um traço, a sugerir tanto o nascer como o pôr do sol. É grandeza demais para um mundo demasiado pequeno, dominado pelo narcisismo e pela ânsia do sucesso. Sob certo aspecto, o caso-Scelsi me faz lembrar outro, mais conhecido, o do grande pianista Glenn Gould, que, aos 32 anos, em 1964, abandonou uma extraordinária carreira de concertista, para passar a tocar exclusivamente em estúdios de gravação..."
Augusto de Campos (Música de Invenção)
"Quel précision! Quel précision! Bravo! Bravo!"
Satie (as quoted by A.C. in Música de Invenção)
"... Not questions like those pertaining to the autonomous work of art, but rather like those brought to mind by the detective novel, with which jazz has in common the fact that it maintains an inexorably rigid stereotypology and at the same time does everything it can to let that stereotypology be forgotten by means of individualizing elements, which are again themselves ultimately determined by the stereotypology. Just as in the detective novel the question of the identity of the criminal is intersected with that which is implied by the whole, so in jazz the question of the alien subject, who both quivers and marches through it, is intersected by the question of what its purpose is, why it is there at all, while it asserts its existence (Dasein) as something self-evident which only conceals how difficult its own vindication for it must be."
Theodor Adorno (On Jazz, Jamie Owen Daniel's translation)
"For Adorno, the false consciousness of Stravinsky's music is its truth, in that it tells us how the world is, while at the same time urbanely convincing us that this is the only way it can be. It is, of course, only when he lies that the devil tells the truth — something that could be seen to apply as well to Adorno as to Stravinsky. For as Adorno said of psychoanalysis, 'nothing is true except the exaggerations.'"
Max Paddison (Stravinsky as devil: Adorno's three critiques)
"What would it mean to hear The Magic Flute as focused around Papageno and Papagena? Or to read Mahler's Ninth through its 'backward' (vulgar) elements, rather than hear those elements, as Anthony Newcomb does, as a means to create a 'forward-moving' teleology? To hear Beethoven's Seventh not in terms of a heroic composer drawing on dance elements in order to invent new 'characteristic' styles, but in terms of a dancing Low, who is composing Beethoven?"
Richard Middleton
"... le pouvoir d'être affecté ne signifie pas nécessairement passivité, mas affectivité, sensibilité, sensation... Nietzsche ne cesse pas de dire que la volonté de puissance est la forme affective primitive..."
"... on n'a pas encore compris ce que signifie la vie d'un artiste... Apparence, pour l'artiste, ne signifie plus la négation du réel dans ce monde, mais cette sélection, cette correction, ce redoublement, cette affirmation."
"Le surhomme se définit par une nouvelle manière de sentir, de penser, d'évaluer... il y a des choses que l'homme supérieur [non pas le surhomme, mais le dernier homme, le plus hideux] ne sait pas faire: rire, jouer et danser."
Gilles Deleuze
"... il y va de l'histoire de la différence sexuelle... l'Androgyne... elle se donne son propre corps en une seule et unique fois dans un évenement à la fois irremplaçable et sériel, divisé ou multiplié dans l'insistance qu'il met à re-constituer le support en le détruisant."
Jaques Derrida (Artaud le Moma)
"... l'apologie de la mère introduit à la reconnaissance des deux parents et fait du couple le foyer hétérogène de l'autonomie bisexuelle du self..."
J. Kristeva (Le génie féminin 2)
Pierre Klossowski (Un si funeste désir)
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Now (and in case you have not got to this journey's end miserably spent) here it is what was closely pent up (after scrapes and difficulties) in the social chimney corner (stories to wave in, traditions to sift, if I'm suffered to go on quietly):
"Tout en m'inscrivant en porte-à-faux, en créant des décalages, je produis ainsi un sfumato entre présentation et représentation," Orlan.
"Ce qu'il y a d'intéressant dans ce que vient de dire Orlan c'est que ce n'est pas la bio-ingénierie, c'est de l'art et il y a là une grande différence. Industrialiser la vie comme on a industrialisé la mort. Le projet eugénique des camps, ce n'était pas seulement l'élimination des corps, c'était l'industrialisation de la vie. C'était industrialiser la vie, d'où l'intérêt pour les jumeaux," Paul Virilio.
"Y a-t-il encore une VISAGEITÉ au-delà de la ressemblance habituelle, celle que l'on retrouve? Si je dis transfiguration, c'est parce que, quand le Christ se transfigure, ce n'est pas de l'exhibitionnisme," Paul Virilio.
"... ils sont pires que des Pompiers. Ils sont tellement célébres qu'ils sont morts; ils sont devenus des OBJETS INCASSABLES," Paul Virilio.
"C'est comme si d'autres les avaient cités comme par anticipation," Orlan.
***Orlan et Paul Virilio, transgression/transfiguration [conversation], La Rochelle: l'une & l'autre, 2009.
***See also:
***See also:
And also: