Friendly Mussolini, Friendly Hitler, Friendly Stalin, Friendly Zuckerberg, R.I.P. Charlie Watts & The End of Brazilian Joker &/or Brazilian Political Circus, all in (Brazilian) Agro-Rural-Pop Constructivism;
AZ in between Elke Maravilha & Young Aleister Crowley, Felix the Cat (singing Atomic & at Chelsea Hotel), I wanna be ur dog: retrato de D. João IV, Infante (Pedro Américo), Damné with Devil's Shadow, AZ & Lupicínio: Long-Hair Sofacouch Digitalstrayers with a mandragora, Marlene Dietrich, Gary Cooper & Lupicínio, several Brazilian musicians in Telma-Eu-Não-Suguei's Version;
The Thirteenth Dose, Friendly Bolsonaro in Furs (agro-rural-pop constructivism), Apple of Sodom, We Will be Heroes (Telma-eu-não-suguei's version) &/or Moment of Truth plus Pepi's Revenge;
Lygia Pape, Youth Nietzsche & A Fact is a Fact (not an opinion), by Brazilian Media Strenuous Superstar, Gallous Agro-Rural-Pop Brazilian-Chinese Humour Constructivism with Brazilian Jeanne d'Arc, another appropriated A.C.'s poem & Cristina Pereira in Abstract Hell, Abaporu in Telma-Eu-Não-Suguei's version, Kurdt Coebane's Kurdt Alone Ornamented (original picture from Brett Morgen's Montage of Heck, 2015) plus transcriated quotations from Nelson Leirner, Agusto de Campus Blonde, Keith Haring's three eyed smiling face (upon a button Homage to Fontana), Arnold Schönberg's Blue Self Portrait in Brazilian Telma-Eu-Não-Suguei's Version PLUS Updates on People of Mystic Extraction: Jacob Böhme & Paracelsus with a mohawk, cool Swedenborg with AZ & Lupicínio, Júpiter Maçã;
AZ & Lupicínio with mysterious smiles in the World of Nina, winged Thomas Haustein, goddess Grace Jones & long horn Johnny Five;
For more info on these collages, see my Instagram;
Other successes & miscarriages (not mine):
Gilbert Simondon Interview (1965/Youtube);
Documentary about Louis-Ferdinand Céline (Carlo Ventimiglia/Youtube) [video was taken out of Youtube];
Louis-Ferdinand Céline, au fond de la nuit (France Culture/Youtube, 2019);
Raymond Roussel, Une vie une oeuvre (with Annie Lebrun, Jean-Jacques Pauvert, by Françoise Estèbe, Jean-Claude Loiseau/France Culture, 2013);
Ursula Reuter Christiansen on Joseph Beuys as a teacher (Tine Colstrup/Youtube 2020);
Joseph Beuys meet Andy Warhol (Dusseldorf 1979/KunstSpektrum Youtube);
Pink Floyd's Corporal Clegg (Youtube);
Radiohead's Paranoid Android (Youtube);
Tommy Cash's Euroz Dollaz Yeniz (Youtube);
George Antheil's Violin Sonata n. 2 (Vahid Khadem-Missagh and Gottlieb Wallisch, 2015,Youtube);
Exorcismo Negro (José Mojica Marins, 1974);
Sex Pistols in Brazil (The Great Rock 'n' Roll Swindle/Julien Temple, 1980);
Smithereens (Susan Seidelman, 1982);
Anyone can Become Dada (Alphabet of German Dadaism/Helmut Herbst, 1969);
Andy Warhol (from Blank Generation/Ulli Lommel, 1980);
The Golden Age of Grotesque (Marilyn Manson's song, 2003) [I took this video out of Youtube because I wanted to change it];
Maysa fala de Dolores Duran (Youtube);
My Dream with Johnny 5 [Youtube don't let me incorporate this video here, even if it is my own video!];
O (Des)contrutor/a/z [I took this video out of Youtube because I wanted to change it];
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Foundation:
"... the function of art is to strengthen the perceptive faculties and free them from encumbrance, such encumbrances, for instance, as set moods, set ideas, conventions; from the results of experience which is common but unnecessary, experience induced by the stupidity of the experiencer..."
"... language, the medium of thought's preservation, is constantly wearing out. It has been the function of poets to new-mint the speech, to supply the vigorous terms for prose."
Ezra Pound ("The Wisdom of Poetry")
"When I find people ridiculing the new arts, or making fun of the clumsy odd terms we use in trying to talk of them amongst ourselves; when they laugh at our talking about the 'ice-block quality' in Picasso, I think it is only because they do not know what thought is like, and that they are familiar only with argument and gibe and opinion. That is to say, they can only enjoy what they have been brought up to consider enjoyable, or what some essayist has talked about in mellifluous phrases. They think only 'the shells of thought,' as De Gourmont calls them; the thoughts that have been already thought out by others."
Ezra Pound ("Vorticism")
"... good art can NOT be immoral..."
Ezra Pound ("The Serious Artist")
"Começarei protestando contra a confusão que se faz entre a seriedade do espírito humano e, por exemplo, a sisudez de uma sessão acadêmica, com suas ratazanas fardadas e a coleção de suas carecas de louça. Ao contrário disso, nada mais sério que a blague de Voltaire ou de Ilyia Ehrenburg, a fantasia de Joyce o suspeito moralismo de Proust... O sarcasmo, a cólera e até o distúrbio são necessidades de ação e dignas operações de limpeza, principalmente nas eras de caos, quando a vasa sobe, a subliteratura trona e os poderes infernais se apossam do mundo em clamor."
"Que houve, para que tudo isso acontecesse e se despejasse sobre a cabeça desavisada dos que, como eu, nasceram cinquenta anos atrás, numa capital de cônegos e de sinos da América paulista?"
Oswald de Andrade (Meu Testamento)
"For Adorno, the false consciousness of Stravinsky's music is its truth, in that it tells us how the world is, while at the same time urbanely convincing us that this is the only way it can be. It is, of course, only when he lies that the devil tells the truth — something that could be seen to apply as well to Adorno as to Stravinsky. For as Adorno said of psychoanalysis, 'nothing is true except the exaggerations.'"
Max Paddison (Stravinsky as devil: Adorno's three critiques)
"Les normes mêmes de la démonologie non seulement décrivent l'existence d'un point de vue différent de celui de la croyance en général; elles forment de surcroît une méthode, telle qu'elle est conçue à l'origine par les néo-platoniciens, en dernier lieu par l'herméneutique scolastique — prônant une traduction spectaculaire des puissances avec lesquelles on compose — en fin de compte analysant jusqu'aux procédures de la pensée même —, et qui concourt, contre toute 'pathogénie' critique, à figurer plutôt une 'pathophanie': soit à considérer en nous l'insidieuse présence des esprits, mais aussi toute façon de penser et de sentir comme une expression indissociable de leur dissimulation. De là vient, dirai-je à la suite de Varron, le caractère théâtrique de la théologie, dont le théâtre occidental, strindbergien et shakespearien, à son tour dérive indirectement."
Pierre Klossowski (entretiens avec Jean-Maurice Monnoyer)"... il arrive trop souvent que ce pain [qui convient à des sections plus grandes et situées plus bas dans l'hiérarchie du Triangle] devienne la nourriture d'hommes qui appartiennent déjà à une section plus élevée. Pour eux, ce pain devient alors un poison: à petites doses il fait progressivement glisser l'âme d'une section élevée dans une autre plus basse; à haute dose, il provoque une chute brutale, vers des sections de plus en plus basses."
"Dans ces époques muettes et aveugles, les hommes attachent une valeur spéciale et exclusive aux succès extérieurs, ne se préoccupent que de biens matériels et saluent tout progrès technique qui ne sert et ne peut servir qu'au corps comme une grande réussite. Les forces purement spirituelles sont sous-estimées, sinon totalement ignorées. Isolés, les affamés et ceux qui voient sont moqués ou considérés comme anormaux. Cependant quelques rares âmes, qui ne peuvent être endormies et qui éprouvent un besoin obscur de vie spirituelle, de savoir et de progrès, gémissent, inconsolées et plaintives, dans le coeur des appétits grossiers. La nuit spirituelle s'épaissit de plus en plus, Autour de telles âmes effrayées, tout devient de plus en plus gris et ceux à qui elles appartiennent, de peur ou de désespoir, torturés et épuisés, préfèrent souvent la chute brutale et soudaine dans le noir à ce lent obscurcissement."
"L'art qui, en de telles périodes, a une vie diminuée n'est utilisé qu'à des fins matérielles. Il va chercher sa substance dans la matière grossière, ne connaissant pas la plus fine. Les objets, dont la reproduction semble son seul but, restent immuablement les mêmes. Eo ipso la question 'quoi' disparaît dans l'art. Seule subsiste la question 'comment' l'objet corporel pourra être rendu par l'artiste. Elle devient le credo. Cet art n'a pas d'âme."
"... l'artiste, dans ces périodes, n'a pas besoin de dire grand-chose et un simple 'autrement' le fait remarquer et apprécier de certains petits cercles de mécènes et de connaisseurs, qui le prônent (ce qui n'exclut pas des avantages matériels parfois fort importants)... Chaque 'centre d'art' voit vivre des milliers et de milliers d'artistes de ce genre dont la plupart ne cherchent qu'une nouvelle manière et fabriquent sans enthousiasme, le coeur froid et l'âme endormie, des millions d'oeuvres d'art. La 'concurrence' se fait plus vive. La chasse au succès rend la recherche toujours plus superficielle. De petits groupes, qui ont, par hasard, réussi à s'écarter de ce chaos d'artistes et d'images, se retranchant sur les positions conquises."
Kandinsky (Du Spirituel dans l'art, traduction Nicole Debrand et Bernadette du Crest)
"Cash makes the world go round
Cash makes yo girl get down...
Cash makes yo girl get down...
You be my slave and I'll be your master
This is my time, I'm your favourite rapper...
This is my time, I'm your favourite rapper...
I wish my girls were all icy
Clothes I wear so damn pricey"Tommy Cash
"Le capitaliste ne veut pas paraître sous le jour ou Sade le décrit. Pour ce dernier, du reste, les institutions ne peuvent qu'être aux mains des scélérats ou des coquins, puisqu'ils profitent des normes pour favoriser leurs anomalies. Quoique se plaçant d'abord dans un cadre encore féodal, j'ai montré que Sade assigne au numéraire un rôle corrupteur: d'évaluation du sujet vivant. La vénalité perverse s'oppose à la somptuosité généreuse, à la dépense fondée encore sur le don. On ne pourrait dire, cela admis, qu'il donne une prophétie de l'exploitation rationnelle, comme le pensaient schématiquement Adorno ou Roger Vailland. Les sociétés clandestines qu'imagine Sade au moment du Directoire — une floraison de plantes vénéneuses —, créées pour la satisfaction des anomalies, créent aussi leur propre 'norme', telle une règle conventuelle."
"J'ai voulu, dans La Monnaie vivante, souligner le lien existant entre les objets que j'appelle des ustensiles et les instruments de suggestion (y compris ceux, 'vivants', qui servent de référence aux autres). Encore une fois, notez clairement que je ne dénonce pas les méfaits de la suggestion mécanisée. L'important était d'indiquer que l'industrie s'est servie des anomalies, libérant des possibilités qui devraient aboutir à renverser l'institution. Ce sont les mécanismes industriels qui sont révolutionnaires et que canalisent à leur profit les détenteurs du capital..."
Pierre Klossowski (entretiens avec Jean-Maurice Monnoyer)
"Tal ligação aliás faz parte da experiência cotidiana de todos os ouvintes contemporâneos, não raro às voltas com um teminha absolutamente detestável do rádio, que no entanto se agarra aos nossos ouvidos com a força de um mau-olhado... Os portugueses foram os primeiros, na época moderna, a estabelecer relações comerciais e de conquista com as culturas negras da África. E chamaram de feitiço, isto é, coisa feita, aos objetos, bonecos, oferendas, etc. aos objetos que os africanos empregavam com finalidades mágicas e religiosas. Essa palavra portuguesa deu origem ao francês 'fétiche', ao inglês 'fetich', ao alemão 'fetichismus' utilizado por Marx na famosa quarta seção do primeiro capítulo de o capital... Vemos, portanto, que as palavras feitiço e fetichismo têm sua própria origem no contato inicial entre portugueses e africanos."
Carlos Sandroni (Feitiço Decente)
"Un wagon de marchandises ou un tender de locomotive vieillit moins vite qu’une voiture de voyageurs, avec ses ornements et inscriptions: la plus surchargée d’ornements inessentiels est celle qui se démode le plus vite... l’automobile vieillit plus vite que l’avion, alors que l’avion, techniquement, a reçu des transformations plus importantes que l’automobile. C’est que l’avion est fait pour la piste d’envol, pour l’air et pour la piste d’atterrissage. Il est par nécessité réalité de réseau bien avant d’être objet séparé..."
"On pourrait encore comparer cette condition aliénante de l’objet produit en situation de vénalité à celle de l’esclave antique sur le marché ou de la femme dans une situation d’infériorité sociale: l’introduction à l’existence active se fait par des moyens inadéquats aux fonctions vraies; elle est à l’opposé de l’entéléchie et crée une dualité, une prévalence de l’inessentiel, une distorsion de la vraie nature: le choix se fait sous les espèces fallacieuses du charme, du prestige, de la flatterie, de tous les mythes sociaux ou des croyances personnelles."
"Parce qu’il est jugé en une seule fois et globalement, tout entier accepté ou rejeté dans la décision ou le refus d’achat, l’objet de la production industrielle est un objet fermé, un faux organisme saisi par une pensée holistique à composante psychosociale; il ne permet ni l’exercice ni le développement de la mentalité technique au niveau des décisions volontaires et des normes d’action."
"... pour qu’un objet permette le développement de la mentalité technique et puisse être choisi par elle, il faut qu’il soit lui-même de structure réticulaire: si l’on suppose un objet qui, au lieu d’être fermé, présente des parties conçues comme aussi près que possible de l’indestructibilité, et d’autres, au contraire, en lesquelles se concentre la finesse d’adaptation à chaque usage, ou l’usure, ou la rupture possible en cas de choc, de mauvais fonctionnement, on obtient un objet ouvert, pouvant être complété, amélioré, maintenu à l’état de perpétuelle actualité."
"Là est le point clé: l’objet technique postindustriel est l’unité de deux couches de réalité: une couche aussi stable et permanente que possible, qui adhère à l’utilisateur et est construite pour durer; une couche pouvant être perpétuellement remplacée, changée, rajeunie, parce qu’elle est faite d’éléments tous semblables, impersonnels, produits en foule par l’industrie et diffusés par tous les réseaux d’échange. La participation au réseau est ce par quoi l’objet technique reste toujours contemporain de son utilisation, toujours neuf. Or cette conservation en l’état de pleine actualité est précisément rendue possible par les structures que dégagent les schèmes cognitifs: il faut que l’objet ait des seuils de fonctionnement reconnus, mesurés, normalisés, pour qu’il puisse être divisé en parties permanentes et en parties volontairement fragiles, soumises au remplacement. L’objet n’est pas seulement structure mais régime."
"Une mentalité technique ne peut se développer que si l’antinomie affective de l’opposition entre artisanat et industrie est remplacée par l’orientation décidée de la pousée volontaire vers le développement des réseaux techniques, qui sont postindustriels et retrouvent un nouveau continu... la réalité technique est éminemment susceptible d’être continuée, complétée, perfectionnée, prolongée. En ce sens, une extension de la mentalité technique est possible et commence à se manifester, en particulier, dans le domaine des Beaux-Arts. Construire un bâtiment selon les normes de la mentalité technique, c’est le concevoir comme pouvant être augmenté, continué, amplifié sans défiguration ni rature. Le 'Couvent Le Corbusier' est un bel exemple de l’apport de la mentalité technique en architecture... l’esprit de dépouillement qui se manifeste dans le choix des formes et l’emploi des matériaux: il sera possible, sans hiatus entre l’ancien et le nouveau, d’employer encore le béton, brut de décoffrage, le fer, les câbles, les tubulures des longs corridors. La non-dissimulation des moyens, cette politesse de l’architecte envers ses matériaux qui se traduit par une constante technophanie aboutit au refus de l’obsolescence et à la découverte féconde, sous les espèces sensibles, de la permanente disponibilité du matériau industriel comme fondement de la continuité du travail."
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As appears from a most antient account of the family (wrote upon strong vellum and now in perfect preservation):
"Le Kitsch est permanent comme le péché: il y a une théologie du Kitsch."
"Le Kitsch est à la mesure de l'homme, quand l'art en est la démesure, le Kitsch dilue l'originalité à un degré suffisant pour la faire accepter par tous. Si les arcs hyperboliques des arêtes de la Tour Eiffel ont une grandeur asymptotique, celle-ci transformée en miniature inoffensive de presse-papeir, se réduit à la saveur aimable de courbes harmonieuses."
"[Le Kitsch] montre d'autre part la prééminence de l'idée d'ersatz: un matériau n'est pas nécessairement lié à un objet donné, celui-ci est largement indépendant de celui-là; il n'y a pas de raison, se dit le système Kitsch (comme tout la culture technologique contemporaine d'ailleurs) de respecter le matériau d'origine de l'objet si l'on peut le changer."
"... l'objet Kitsch... retient dans la fabrication une forme reconnaissable plutôt qu'une immédiateté existentielle."
"Si d'autres objets s'introduisent dans l'appartement et doivent s'insérer auprès des précédents, ils contribuent à resserrer la zone propre de chaque objet initial, comprimant son 'espace vital', c'est le signe de la 'pression Kitsch.'"
"Ce sont les surréalistes qui, les premiers, dans leurs travaux sur la transformation de l'objet (Duchamp, Tzara, Breton) ont mis en évidence, par l'absurde, la notion de fonctionnalité et celle d'antifonctionnalité, quand la dissociation de la fonction et de l'objet pousse à l'extrême cette inadéquation..."
"Le Kitsch doux est sucré... A l'opposé, [en tant que Kitsch aigre] on trouvera les crânes mexicains en sucre, les squelettes en matière plastique de la civilisation américaine, le vampirisme du cinéma d'épouvante dont l'authenticité reste toujours mise en question par le spectateur lui-même qui, même consommateur raffiné de ce genre de spectacle, n'arrive jamais à participer tout à fait à ces films de classe B fabriqués selon les meilleures recettes de l'art combinatoire."
"Le principe de perception synesthésique se relie à celui de l'accumulation, il s'agit d'assaillir le plus possible de canaux sensoriels simultanément ou de façon juxtaposée."
"... le Kitsche... s'oppose à l'avant-garde, il reste, essentiellement, art de masse, c'est-à-dire acceptable par la masse et proposé à elle comme un système. C'e st par la médiocrité que les produits Kitsch parviennent à l'authenticiquement faux, éventuellement, au sourire condescendant du consommateur qui se croit supérieur à eux à partir du moment où il les juge."
"Le Kitsch apporte au premier chef à l'individu une fonction de plaisir, ou plutôt de spontanéité dans le plaisir étrangère à l'idée de beauté ou de laideur transcendante, il lui apporte une participation limitée, et, par procuration, à l'extravagance."
"Le Kitsch est la récupération du talent artisanal, il est d'une façon générale la récupération de l'art subversif dans la Gemütlichkeit, dans le confort de la vie quotidienne, il est la [selon Edgar Morin 'grande victoire du talent contre le génie.'"
"... une éthique Kitsch de l'adaptatio au plus grand nombre déjà énoncée par Pareto sous le nom d'ophélimité..."
"Les marchandises culturelles de l'industrie se règlent, comme l'ont dit Brecht et Surhkamp, sur le principe de leur commercialisation et non sur leur contenu autonome et sa structure propre (Adorno)."
"C'est la consommation ostentatoire de Veblen dans laquelle ce statut social est ramené essentiellement à son apparence: la possession d'un meuble noble vaut titre de noblesse."
"Allemagne du Sud, Bavière, et Europe Centrale, pays du heimlich et du gemütlich, la France 1900, les États-Unis des nouveaux riches de Chicago..."
"Le Kitsch se distingue, mais s'alimente des autres écoles d'art... Toutefois, il ne digère pas tout, il rejette spontanément impressionnisme et expressionnisme, et voit naître son ennemi, le fonctionnalisme, en réaction violente avec lui."
"La Bourgeoisie s'installe à l'époque Napoléon IIII — Guillaume I, au milieu du XIXe siècle, et devient vers cette époque une société de masse..."
"Louis II [Wittelsbach] dans son désir de grandeur irréaliste, se fixe sur l'image du Roi Soleil Louis XIV, et cherchera toute sa vie à réaliser cette image: il sera un néo-Louis XIV, un ersatz de celui-ci."
"... l'ambiance des montagnes et des lacs bavarois, déterminant l'image d'un romantisme conjugué avec un amour frénétique de l'art..."
"Magasins à entrée libres de plain-pied avec le trottoir, où l'entrée n'implique pas obligation morale d'achat, libération si évidente dans un space ouvert, anonyme au visiteur non personnalisé, doux aux timides, aux peureux, aux économes, séduisant aux coquettes avec ses vitrines immenses, étalées sur la rue..."
"... des immeubles comme l'Hôtel Gellert ou le Café Hungaria à Budapest, ville édifiée presque entièrement à cette époque..."
"Pendant trente ans de 1880 à 1914, va triompher le système de vie incorporant puis intégrant des tendances diverses, mais opposant à l'impressionnisme ou à l'expressionnisme la plus étanche des barrières, car ceux-ci sont constitués en révolte contre l'ordre bourgeois, par des artistes qui sont des fils dégénérés, perdus dans la 'vie d'artiste', l'immoralité et les dettes, instables et sans lieu..."
"... grand orchestre pour une mélodie banale, orgue pour une chanson de pot-pourri..."
"Gropius s'exprimait ainsi: 'L'adaptation au but est belle aussi', insistant par là sur l'adjonction, de caractère additif, de la beauté, comme sécrétion de l'emploi just des moyens en vue des fins. Cette attitude est à l'opposé même du Kitsch, elle en est la contradiction la plus exacte..."
"Fonction... c'est surtout, au sens de Goethe, une relation nécessaire entre les éléments d'un système..."
"C'est l'époque où diffusent la théorie de l'Umwelt établie par Von Uexkull dans ses travaux sur le milieu animal..."
"... l'attitude, plus récemment appelée Cybernétique, ou Théorie des systèmes généraux, qui refuse provisoirement toute distinction entre être et organes..."
"... le fonctionnalisme est émergé comme un processus de violente réaction contre les caractéristiques fondamentales de l'ambiance de l'Umwelt d'objets et de formes proposées aux citoyens de la société bourgeoise."
"... la société crée le système néo-Kitsch en prétendant, dans chacun des objets inutiles qu'elle crée, leur incorporer une fonctionnalité..."
"... l'homo ludens de Huizinga, le diable e personne qui met en échec les valeurs du monde [cf. R. Caillois aussi]..."
***everythig from Abraham Moles, Psychologie du Kitsch. L'Art du Bonheur (Paris: Maison Mame, 1971);
***To raise the dead— &/or evidence for the villainous affair, the tale of family disonour, Romish church's pact with the devil (considered the greatest outrage against sense and decency, to be plagued and pestered, though solemnly ratified, à Dieu rien n'est impossible, menteur avéré, nom d'un chien):
"Although Greek names were sometimes applied to the church modes and the principle of diatonic octave scales is found in both systems, certain significant discrepancies seem to belie any direct historical connection. Most conspicuous is the different meaning attributed to the names of the Greek octave species and of the church modes. Comparing the two systems provides a plausible explanation: medieval theorists apparently assumed wrongly that the Greek octave species were named in ascending rather than descending order. The Greek octave species Dorian (E–E), Phrygian (D–D), Lydian (C–C), and Mixolydian (B–B) thus appeared in the church modes as Dorian (D–D), Phrygian (E–E), Lydian (F–F), and Mixolydian (G–G)," (from "Mode," entry in Brittanica, by Mieczyslaw Kolinski);
See also:
And also (with the whole of it):
- Tropicalismo;
***My & other portrait drawings at Fine Art America.