A/Z montage (original photography + Guan Tong, Li Long-mien, Baltrusaitis);
Seminário Aberto Filosofia e Literatura/Clarice Lispector, 100 anos de existência, 10/12/2020 (Universidade do Porto);
Entrevista de Clarice com Julio Lerner (1977);
Lygia Clark and her "Abandonment" in MoMA (Luis Pérez-Orama);
Ilé Aiyé: The House of Life (documentary about Salvador/Bahia's Candomblé by David Byrne, 1989);
Colloque de Cerisy: Dostoïevsky, l'auteur de ma vie (Julia Kristeva & Nicolas Aude);
Documentário su August Strindberg (1849-1912) (Fondazione Teatro Due) [this is an excellent material that ended being censured on Youtube, so I took it from here because the preview wouldn't show];
'Strindberg: A Life' Author Sue Prideaux Interviewed by Yale Books;
Nerval, La folie d'écrire (Stéphane Ginet, Jacques Bony/Canal du Savoir, 1996);
Heidegger & Holderlin (par Jean Amrouche et Jean Wahl/RTF, 1956);
Friedrich Hölderlin : Folie et génie par Pierre Jean Jouve (1951/France Culture);
Françoise Bonardel: La parole insurgée d'Antonin Artaud (Cercle Aristote/Youtube 2017);
Alchimie & représentations du monde (1991/France Culture);
Paracelse: une vie une oeuvre (1985/France Culture);
Jeanne d'Arc la Gauchiste (Pacôme Thiellement/Blast);
Giacinto Scelsi's Four illustrations: IV, Krishna-Avatara;
Giacinto Scelsi's Come un cri traverse un cerveau (Youtube);
Giacinto Scelsi's Okanagon (1968, Youtube);
Brian Ferneyhough's Terrain (1992) (Youtube);
Brian Ferneyhough's La Terre est un Homme (Youtube);
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Vestibule (to keep your imagination as busy as my own):
"Jung contrappone, è noto, a uno strato superficiale dell'inconscio (personale) uno strato piú profondo, innato e collettivo che ha contenuti e comportamenti che (cum grano salis) sono gli stessi dappertutto e per tutti gli individui. I contenuti dell'inconscio collettivo sono i cosiddetti archetipi. Tipi arcaici, immagini universali presenti sin dai tempi remoti, répresentations collectives (Lévi-Bruhl) ovvero figure simboliche delle primitive visione del mondo... I principi basilari dell'inconscio, le archai, nonostante siano riconoscibili, sono, per la loro ricchezza di riferimenti, indescrivibili. Nessuna formulazione univoca é possibile: essi sono contraddittori e paradossali, come lo spirito è, per gli alchimisti, simul senex et iuvenis..."
Umberto Eco, Semiótica e Filosofia del linguaggio
"... die Geschichte des Christentums—und zwar vom Tode am Kreuze an—ist die Geschichte des schrittweise immer gröberen Missverstehns eines ursprünglichen Symbolismus."
"Heute noch ist ein solches Leben möglich, für gewisse Menschen sogar notwendig: das echte, das ursprüngliche Christentum wird zu allen Zeiten möglich sein... Nicht ein Glauben, sodern ein Tun, ein Vieles-nicht-tun vor allem, ein andres Sein... Bewusstseins-Zustände, irgendein Glauben, ein Für-wahr-halten zum Beispiel, jedes Psycholog weiss das, sind ja vollkommen gleichgültig und fünften Ranges gegen den Wert der Instinkte: strenger geredet, der ganze Begriff geistiger Ursächlichkeit ist falsch. Das Christ-sein, die Christlichkeit auf ein Für-wahr-halten, auf eine blosse Bewusstseins-Phänomenalität reduzieren, heisst die Christlichkeit negieren."
Nietzsche (Der Antichrist)
"Indem nämlich die Vielheit unverbundener Einzeltriebe sich in zwei einander gleichsam gegenüber stehende Wesenheiten zerspaltet, von denen die Eine herrscht, die Andere dient, — wird es dem Menschen ermöglicht, zu sich selber nicht nur wie zu einem anderen, sondern auch wie zu einem höhern Wesen zu empfinden. Indem er einen Theil seiner selbst sich selber zum Opfer bringt, ist er einer religiösen Exaltation nahe gekommen. In den Erschütterungen seines Geistes, in denen er das heroische Ideal eigener Preisgebung und Hingebung zu verwirklichen wähnt, bringt er an sich selbst einen religiösen Affect zum Ausbruch."
"Von allen grossen Geistesanlagen Nietzsches gibt es keine, die tiefer und unerbittlicher mit seinem geistigen Gesammtorganismus verbunden gewesen wäre, als sein religiöses Genie. Zu einer anderen Zeit, in einer andern Culturperiode würde dasselbe diesem Predigerssohn sicherlich nicht gestattet haben, zum Denker zu werden. Unter den Einflüssen unserer Zeit erhielt jedoch sein religiöser Geist die Richtung aufs Erkennen und vermochte dasjenige, wonach es ihn instinctiv am drängendsten verlangte, wie nach dem natürlichen Ausdruck seiner Gesundheit, nur in krankhafter Weise zu befriedigen, — das heisst, er vermochte es nur vermittelst einer Rückbeziehung auf sich selbst anstatt auf eine ihn mit umfassende, ausser ihm liegende Lebensmacht."
"So erreichte er das gerade Gegentheil des Angestrebten: nicht eine höhere Einheit seines Wesens, sondern dessen innerste Zweitheilung, nicht den Zusammenschluss aller Regungen und Triebe zu einem einheitlichen Individuum, sondern ihre Spaltung zum »Dividuum«. Es war immerhin eine Gesundheit erreicht, — doch mit den Mitteln der Krankheit; eine wirkliche Anbetung, doch mit den Mitteln der Täuschung; eine wirkliche Selbstbehauptung und Selbsterhebung, doch mit den Mitteln der Selbstverwundung."
Lous Salomé
"Mais l'expérience est là qui désigne en Dieu le moyen d'échapper à ce délire qu'atteint rarement l'amour de Dieu, qui désigne en Dieu le 'Bon Dieu', le garant de l'ordre social et de la vie discontinue. Ce qu'atteint au sommet l'amour de Dieu est en vérité la mort de Dieu. Mais nous ne pouvons de ce côté rien connaître, sinon la limite de la connaissance. Cela ne signifie pas que l'expérience de l'amour de Dieu ne nous donne pas les indications les plus vraies. Nous ne devons pas nous étonner que les données théoriques ne faussent pas l'expérience possible. La recherche est toujours celle de la continuité, qu'atteint l'état theopathique. Jamais les voies de cette recherche ne sont droites."
Georges Bataille ("La Béauté", L'Érotisme)
"Quoi qu'il en soit (et je reconnais volontiers que sur un point assez obscur, il est possible d'hésiter), il apparaît qu'au moins en partie Hegel tira de ses connaissances théologiques, de même que de la connaissance de maître Eckart et de Jacob Noehme, le mouvement de dialectique qui lui est propre. Mais si j'ai parlé maintenant de Hegel, ce n'est pas avec l'intention d'insister sur la valeur de sa philosophie."
"Il me semble même que la réaction contre cet aspect glacé de la philosophie caractérise la philosophie moderne dans son ensemble, mettons, sans parler de Kierkegaard, de Nietzsche à Heidegger. Naturellement la philosophie, me semble-t-il, est profondément malade. Elle est inconciliable avec une possibilité bohême, une possibilité débraillée de la pensée, que je représente peut-être aux yeux de certains d'entre vous."
"Si nous suivons la voie indiquée par le christianisme, il est vrai, nous pouvons non seulement sortir de la solitude, mais accéder à une sorte d'équilibre, qui échappe au déséquilibre premier, dont je pars, qui nous empêche de concilier la discipline et le travail avec l'expérience de l'extrême."
Georges Bataille ("La Sainteté", L'Érotisme)
"Les normes mêmes de la démonologie non seulement décrivent l'existence d'un point de vue différent de celui de la croyance en général; elles forment de surcroît une méthode, telle qu'elle est conçue à l'origine par les néo-platoniciens, en dernier lieu par l'herméneutique scolastique — prônant une traduction spectaculaire des puissances avec lesquelles on compose — en fin de compte analysant jusqu'aux procédures de la pensée même —, et qui concourt, contre toute 'pathogénie' critique, à figurer plutôt une 'pathophanie': soit à considérer en nous l'insidieuse présence des esprits, mais aussi toute façon de penser et de sentir comme une expression indissociable de leur dissimulation. De là vient, dirai-je à la suite de Varron, le caractère théâtrique de la théologie, dont le théâtre occidental, strindbergien et shakespearien, à son tour dérive indirectement."
"Parce que l'affabulation, dans La Vocation suspendue, est en réalité plus autobiographique que l'autobiographie n'eût semblé le permettre, même si en fin de compte cette affabulation se retourne contre elle-même — et de fait aujourd'hui à vos yeux, je me comporterais comme un athée, quoique je ne cache point mon non-athéisme. Kierkegaard indique bien que tous les chrétiens ne peuvent que se comporter comme des athées. D'avoir abandonné l'habit ne me rend pas moins sensibles aux motifs particuliers dont s'est servi mon propre mouvement ver la foi. Bien au contraire — et ainsi que, lors de mon expérience conventuelle, je découvris que de fuir les 'ténèbre'au-dehors, celles-ci n'en paraissaient que plus présentes à l'esprit sou la persécution des âmes où le Vatican menait une parti de l'Eglise, — de même, j'ai voulu prouver à l'inverse, dans le style de cette confession, que la réduction à l'état laïc fasait encore dépendre cet état d'une conception religieuse de la vie profane."
Pierre Klossowski (entretiens avec Jean-Maurice Monnoyer)
"La Gaya Scienza, fruit de la plus grande solitude imaginable, parle essentiellement à des esprits qui, eux, sauront retrouver cette solitude, donc à ces natures qu'un fond de noblesse dispose à refuser autant la distraction à tout prix que le travail à tout prix, donc à supporter l'ennui: nous touchons là aux ressources de la solitude, lesquelles, en dépit de son extrême isolement, lui donnaient le sentiment d'être toujours 'entre nous'... Quant aux états d'élévation, il lui semble, dit-il, que la plupart des gens ne croient guère à la réalité de pareils états d'âme, excepté ceux qui connaissent par expérience un état d'elévation de longue durée."
Pierre Klossowski (Un si funeste désir)
"As Dante writes of the sunlight coming through the clouds from a hidden source and illuminating part of a field, long before the painters had depicted such effects of light and shade, so are later watchers on the alert for colour perceptions of a subtler sort, neither affirming them to be 'astral' or 'spiritual' nor denying the formulae of theosophy."
Ezra Pound (The Wisdom of Poetry)
"Speaking aesthetically, the myths are explications of mood: you may stop there, or you may probe deeper. Certain it is that these myths are only intelligible in a vivid and glittering sense to those people to whom they occur. I know, I mean, one man who understands Persephone and Demeter, and one who understands the Laurel, and another who has, I should say, met Artemis. These things are for them real."
"The problem, in so far as it concerns Provence, is simply this: Did this 'chivalric love,' this exotic, take on mediumistic properties? Stimulated by the color or quality of emotion did that 'color'take on forms interpretive of the divine order? Did it lead to an 'exteriorization of the sensibility,' and interpretation of the cosmos by feeling?"
"Though the servants of Amor went pale and wept and suffered heat and cold, they come on nothing so apparently morbid as the 'dark night'. The electric current giver light where it meets resistance."
Ezra Pound (Psychology and Troubadours)
"I came to London with £3 knowing no one... I wanted to meet certain men whose work I admired. I have done this... Besides knowing living artists I have come in touch with the tradition of the dead."
Ezra Pound (How I began)
"La grande ressource de Maeterlinck est le mot. Le mot est une résonance intérieure... il se forme dans la tête de l'auditeur une représentation abstraite, un objet dématérialisé qui éveille immédiatement dans le 'coeur' une vibration. Ainsi l'arbre vert, jaune, rouge dans la prairie n'est qu'un cas matériel, une forme matérialisée fortuite de l'arbre que nous ressentons au son du mot, arbre. L'emploi habile (selon l'intuition du poète) d'un mot, la répétition intérieurement nécessaire d'un mot, deux fois, trois fois, plusieurs fois rapprochées, peuvent aboutir non seulement à une amplification de la résonance intérieur, mais aussi à faire apparaître certaines capacités spirituelles insoupçonnées de ce mot."
"De même se perd parfois le sens devenu abstrait de l'objet désigné et seul subsiste, dénudé, le son du mot. Inconsciemment nous entendons peut-être ce son 'pur' en consonance avec l'objet, réel ou ultérieurement devenu abstrait. Dans ce dernier cas cependant, ce son pur passe au premier plan et exerce une pression directe sur l'âme. L'âme en vient à une vibration sans objet encore plus complexe, je dirais presque plus 'surnaturelle' que l'émotion ressentie par l'âme à l'audition d'une cloche, d'une corde pincée, de la chute d'une planche, etc."
Kandinsky (Du Spirituel dans l'art, traduction Nicole Debrand et Bernadette du Crest)
"Mais il n'y aurait pas seulement différence de degré, comme sur une échelle, entre le philosophe et le sage: le vieux sage venu d'Orient pense peut-être par Figure, tandis que le philosophe invente et pense le concept."
"Dans le cas des figures, au contraire, le pré-philosophique montre que le plan d'immanence lui-même n'avait pas pour destination inévitable une création de concept ou une formation philosophique, mais pouvait se déployer dans des sagesses et des religions suivant une bifurcation qui conjurait d'avance la philosophie du point de vue de sa possibilité même."
Deleuze & Guattari (Qu'est-ce que la philosophie?)
"Estou começando a ler uma mulher com boa cara chamada Simone Weil. Uma mística das antigas eras mas que o Michel acha que eu estou passando também por uma grande experiência mística na medida em que sou o outro. Imagine uma experiência mística e erótica ao mesmo tempo, mas um erótico nada transcendente e camuflado... Aconteceu um fenômeno incrível essa noite. Depois de começar a ler o tal livro, e ela usa muito a terminologia do vazio pleno, e também outros termos que uso, só que em uma outra concepção etc. e tal. Dormi. Acordei duas vezes à noite e, aterrorizada, percebi uma luz difusa dentro do quarto... no duro e pela primeira vez tremi de horror. Mesmo na Praia da Rasa, quando aconteceu aquele fenômeno, lembra-se, de minha cama ter sido levantada e batida no chão, não tive tal medo... Acho que coisas começam a se remoer dentro de mim e devo passar ainda por grandes transformações! É duro, mas o que se há de fazer?"
Lygia Clark (carta a Hélio Oiticica)
"Mando para você uma foto de um trabalho que chamo de Baba antropofágica. Uma pessoa se deita no chão. Em volta os jovens que estão ajoelhados põem na boca um carretel de linha de várias cores. Começam a tirar com a mão a linha que cai sobre a deitada até esvaziar o carretel. A linha sai plena de saliva e as pessoas que tiram a linha começam por sentir simplesmente que estão tirando um fio, mas em seguida vem a percepção de que estão tirando o próprio ventre para fora. É a fantasmática do corpo, aliás, o que me interessa, e não o corpo em si."
Lygia Clark (carta a Hélio Oiticica)
"Mit demselben Instinkte, mit dem die Unterworfnen ihren Gott zum 'Gutten an sich' herunterbringen, streichen sie aus dem Gotte ihrer Überwinder die guten Eigenschaften aus; sie nehmen Rache an ihren Herren, dadurch dass sie deren Gott verteufeln."
"... hier wird der Affekt gegen einen Mächtigen, 'Gott' genannt, beständig aufrechterhalten (durch Gebet)... ein versteckter heimlicher Wettbewerb..."
"Psychologisch nachgerechnet, ist das jüdische Volk ein Volk der zähesten Lebenskraft, welches, unter unmögliche Bedingungen versetzt, freiwillig, aus der tiefsten Klugheit der Selbsterhaltung, die Partei aller décadence-Instinkte nimmt—nicht als von ihnen beherrscht, sondern weil es in ihnen eine Macht erriet, mit der man sich gegen 'die Welt' durchsetzen kann."
"Das Christentum als Formel, um die unterirdischen Kulte aller Art, die des Osiris, der grossen Mutter, des Mithras zum Beispiel, zu überbieten—un zu summieren: in dieser Einsicht besteht das Genie des Paulus."
Nietzsche (Der Antichrist)"Von allem Wunderbaren — so erzählte mir Paracelsus — was ich je sah und hörte, ist Eins das Erstaunlichste, und ich muß nicht nur ein muthiges Herz wie ein Löwe, sondern auch die unschuldige Geduld eines Lammes dazu haben, es gerade so zu berichten, wie es sich zugetragen hat. Denn gesetzt, es wäre das Blendwerk eines mir übel wollenden Geistes gewesen, so gab es nie für mich eine ärgere Versuchung: und sprach das, was mir erschien, die Wahrheit..."
Nietzsche (Nachgelassene Fragmente, 1881)
"Soweit die Kunst auf das Schöne ausgeht und es, wenn auch noch so schlicht, 'wiedergibt', holt holt sie es (wie Faust die Helena) aus der Tiefe der Zeit herauf... Dem Blick wohnt aber die Erwartung inne, von dem erwidert zu werden, dem er sich schenkt. Wo diese Erwartung erwidert wird (die ebensowohl, im Denken, an einen intentionalen Blick der Aufmerksamkeit sich heften kann wie an einen Blick im schlichten Wortsinn), da fällt ihm die Erfahrung der Aura in ihrer Fülle zu. 'Die Wahrnehmbarkeit', so urteilt Novalis, ist 'eine Aufmerksamkeit'. Die Wahrnehmbarkeit, von welcher er derart spricht, ist keine andere als die der Aura. Die Erfahrung der Aura beruht also auf der übertragung einer in der menschlichen Gesellschaft geläufigen Reaktionsform auf das Verhältnis des Unbelebten oder der Natur zum Menschen. Der Angesehene oder angesehen sich Glaubende schlägt den Blick auf. Die Aura einer Erscheinung erfahren, heißt, sie mit dem Vermögen belehnen, den Blick aufzuschlagen. Die Funde der memoire involontaire entsprechen dem. (Sie sind übrigens einmalig: der Erinnerung, die sie sich einzuverleiben sucht, entfallen sie. Damit stützen sie einen Begriff der Aura, der die 'einmalige Erscheinung einer Ferne' in ihr begreift. Diese Bestimmung hat für sich, den kultischen Charakter des Phänomens transparent zu machen. Das wesentlich Ferne ist das Unnahbare: in der Tat ist Unnahbarkeit eine Hauptqualität des Kultbildes.) Wie sehr Proust im Problem der Aura bewandert war, bedarf nicht der Unterstreichung. Immerhin ist es bemerkenswert, daß er es bei Gelegenheit in Begriffen streift, die deren Theorie in sich schließen: 'Einige, die Geheimnisse lieben, schmeicheln sich, daß den Dingen etwas von den Blicken bleibt, welche jemals auf ihnen ruhten'... Verwandt... ist Valerys Bestimmung der Wahrnehmung im Traume als einer auratischen. 'Wenn ich sage: ich sehe das da, so ist damit nicht eine Gleichung zwischen mir und der Sache niedergelegt... Im Traume dagegen liegt eine Gleichung vor. Die Dinge, die ich sehe, sehen mich ebensowohl wie ich sie sehe.' Eben der Traumwahrnehmung ist die Natur der Tempel, von dem es heißt 'L'homme y passe à travers des forêts de symboles/Qui l'obervent avec des regards familiers' [Baudelaire]. Je besser Baudelaire darum gewußt hat, desto untrüglicher hat der Verfall der Aura seinem lyrischen Werk sich einbeschrieben."
Walter Benjamin (Über einige Motive bei Baudelaire)
"Il arrive quelquefois que la personnalité disparaît et que l'objectivité, qui est le propre des poëtes panthéistes, se développe en vous si anormalement, que la contemplation des objets extérieurs vous fait oublier votre propre existence, et que vous vous confondez bientôt avec eux..."
"Car les proportions du temps et de l'être sont complètement dérangées par la multitude et l'intensité des sensations et des idées."
"Je me considérais comme enfermée pour longtemps, pour des milliers d'années peut-être, dans cette cage somptueuse, au milieu de ces paysages féeriques, entre ces horizons merveilleux. Je rêvais de Belle au bois dormant, d'expiation à subir, de future délivrance. Au-dessus de ma tête voltigeaient des oiseaux brillants des tropiques..."
"... bientôt à ces rêves de terrasses, de tours, de remparts, montant à des hauteurs inconnues et s'enfonçant dans d'imenses profondeurs, succédèrent des lacs et des vastes étendues d'eau... Il ne peut pas les congédier; car la volonté n'a plus de force et ne gouverne plus de facultés. La mémoire poétique, jadis source infinie de jouissances, est devenue un arsenal inépuisable d'instruments de supplices... Le Malais était devenu l'Asie elle-même; l'Asie antique, solennelle, monstrueuse et compliquée comme ses temples et ses religions; où tout, depuis les aspects les plus ordinaires de la vie jusqu'aux souvenirs classiques et grandioses qu'elle comporte, est fait pour confondre et stupéfier l'esprit d'un Européen... et puis la Chine et l'Inde formaient bientôt avec l'Égypte une triade menaçante, un cauchemar complexe, aux angoisses variées..."
"Sous les deux conditions connexes de chaleur tropicale et de lumière verticale, je ramassais toutes les créatures, oiseaux, bêtes, reptiles, arbres et plantes, usages et spectacles, que l'on trouve communément dans toute la région des tropiques, et je les jetais pêle-mêle en Chine ou dans l'Indoustan. Par un sentiment analogue, je m' emparais de l'Égypte et de tous ses dieux, et les faisais entrer sous la même loi... J'étais l'idole; j'étais le prêtre; j'étais adoré; j'étais sacrifié. Je fuyais la colère de Brahma à travers toutes. les forêts de l'Asie; Vishnû me haïssait; Siva me tendait une embûche. Je tombais soudainement chez Isis et Osiris; j'avais fait quelque chose, disait-on, j'avais commis un crime qui faisait frémir l'ibis et le crocodile... tôt ou tard se produisait un reflux de sentiments où l'étonnement à son tour était englouti, et qui me livrait non pas tant à la terreur qu'à une sorte de haine et d'abomination pour tout ce que je voyais... Le crocodile maudit devint pour moi l'objet de plus d'horreur que presque tous les autres. J'étais forcé de vivre avec lui, hélas! pendant de siècles... des autres monstres et inexprimables avortons..."
"Ses regards étaient tranquilles, mais doués d'une singulière solennité d'expression, et je la contemplais alors avec une espèce de crainte. Tout à coup, sa physionomie s'obscurcit; me tournant du côté des montagnes, j'aperçus des vapeurs qui roulaient entre nous deux..."
Baudelaire/De Quincey (Les Paradis artificiels)
"... on peut rêver en écrivant? Et si la scène du rêve est toujours une scène d'écriture?"
Jacques Derrida (De la grammatologie)
"Le perroquet demandait à déjeuner comme en ses plus beaux jours, et me regarda de cet oeil rond, bordé d'une peau chargée de rides, qui fait penser au regard expérimenté des vieillards."
"... la tour de Gabrielle se reflète de loin sur les eaux d'un lac factice étoilé de fleurs éphémères; l'écume bouillonne, l'insecte bruit... Il faut échapper à l'air perfide qui s'exhale en gagnant les grès poudreux du désert et les landes où la bruyère rose relève le vert des fougères."
"Père Dodu, vous savez trop bien que l'homme se corrompt partout."
"La lettre était si empreinte de mysticisme germanique, que je n'en devais pas attendre un grand succès..."
"J'ai passé par tous les cercles de ces lieux d'épreuves qu'on appelle théâtres."
"Puis un rayon divin a lui dans mon enfer; entouré de monstres contre lesquels je luttais obscurément, j'ai saisi le fil d'Ariane, et dès lors toutes mes visions sont devenues célestes."
"Mon cher Liszt... Il y a bien longtemps que je ne vous ai écrit... J'ai souffert d'une maladie nerveuse dont la convalescence a été longue et qui a commence à la suite d'un excès de travail occasionné par une pièce de théâtre..."
"Apulée, l'initié du culte d'Isis, l'illuminé païen, à moitié sceptique, à moitié crédule, cherchant sous les débris des mylhologies qui s'écroulent les traces de superstitions antérieures ou persistantes, expliquant la fable par le symbole, et le prodige par une vague définition des forces occultes de la nature..."
Gérard de Nerval
"Dans ses Leçons sur l'histoire de la philosophie, après avoir rappelé que pour Boehme la négativité travaille et constitue la source, qu'au principe « Dieu est aussi le Diable, les deux pour soi », etc., Hegel écrit ceci, que je renonce à traduire: « Ein Hauptbegriff ist die Qualität. Böhme fängt in der Aurora (Morgenröte im Aufgang) von den Qualitäten an. Die erste Bestimmung Böhmes, die der Qualität, ist Inqualieren, Qual, Quelle. In der Aurora sagt er: « Qualität ist die Beweglichkeit, Quallen (Quellen) oder Treiben eines Dinges »... » (Troisième Partie, Première Section, B. Jakob Böhme)."
Jacques Derrida (Qual Quelle)
"Qu'en Grèce une femme incarnant une compagne de Dionysos soit figurée comme possédée par une panthère ou qu'au Dahomey ce soit une divinité des eaux qui incarne passagèrement l'esprit du fauve, l'un et l'autre ne font que montrer, une fois de plus, d'une part que la thématique de la possession est universelle et que la fureur des bêtes sauvages est un de ses aspects favoris, de l'autre, et c'est ce qui nous intéresse surtout présentement que la possession s'accompagne partout d'un grand mouvement d'échange et de va-et-vient des âmes..."
Gilbert Rouget
"... il arrive trop souvent que ce pain [qui convient à des sections plus grandes et situées plus bas dans l'hiérarchie du triangule] devienne la nourriture d'hommes qui appartiennent déjà à une section plus élevée. Pour eux, ce pain devient alors un poison: à petites doses il fait progressivement glisser l'âme d'une section élevée dans une autre plus basse; à haute dose, il provoque une chute brutale, vers des sections de plus en plus basses."
Kandinsky (Du Spirituel dans l'art, traduction Nicole Debrand et Bernadette du Crest)
"And he stared hard at the object of discourse, as one might do at a strange repulsive animal: a centipede from the Indies..."
Nelly (Wuthering Heights)
"Os jagunços investiam sobre os canhões, punham a mão em cima e diziam: viram canaias! o que é ter coragem?"
Euclides da Cunha (Caderneta de Campo)
"En 1896 un millar de rebaños correrían de la playa hacia el sertón y el mar se volvería sertón y el sertón se volvería mar... que había visto la zarza ardiente en el desierto, igual que Moisés..."
"... y por un trago de cachaça y un plato de charqui y farofa contaban las historias de Oliveros, de la princesa Magalona, de Carlomagno y los Doce Pares de Francia..."
"El Anticristo podía mandar soldados a Canudos: de qué le serviría? Se pudrirían, desaparecerían. Los creyentes podían morir, pero, tres meses y un día después, estarían de vuelta, completos de cuerpo y purificados de alma..."
"... esos códigos de conducta tan puntillosos, cómo explicárselos en este fin del mundo?"
"... aunque distorcionada, era una leyenda medieval que había leído de niño y visto de joven transformada en vodevil romántico: Roberto el Diablo."
"De nuevo tuvo una sensación de absurdo e irrealidad."
"Eran los colgajos de los árboles lo que el Enano miraba hechizado..."
"... lo dan la impresión de no ser de carne y hueso sino de cuento o pesadilla."
"... prosiguió León de Natuba, sin amargura, con esa aquiescencia tranquila que el periodista miope había visto a las gentes de aquí enfrentar al mundo, como se las desgracias fueran, igual que las lluvias, los crepúsculos, las mareas, fenómenos naturales contra los que sería estúpido rebelarse."
Mario Vargas Llosa (La guerra del fin del mundo)
"... l'habitude d'avoir toujours du whisky dans ma valise dans le cas d'insomnies ou de désespoirs subits. Pendant cette période-là j'ai eu des amants."
"Les hommes ne le supportent pas: une femme qui écrit. C'est cruel pour l'homme. C'est difficile pour tous. Sauf pour Robert A."
"Personne ne peut la connaître, Lol V. Stein, ni vous ni moi. Et même ce que Lacan en a dit, je ne l'ai jamais tout à fait compris."
"Quand je me couchais, je me cachais le visage. J'avais peur de moi. Je ne sais pas comment je ne sais pas pourquoi. Et c'est pour ça que je buvais de l'alcool avant de dormir."
"Ça rend sauvage l'écriture. On rejoint une sauvagerie d'avant la vie. Et on la reconnaît toujours, c'est celle des forêts, celle ancienne comme le temps. Celle de la peur de tout, distincte e inséparable de la vie même. On est acharné."
"Écrire c'est hurler sans bruit."
"J'entends par là la recherche de la bonne forme, de la forme la plus courante, la plus claire et la plus inoffensive. Il y a encore des générations mortes qui font des livres pudibonds."
"... la mouche savait déjà... C'était ça le plus effrayant. Le plus inattendu. Elle savait. Et elle acceptait."
"... la mouche, elle, elle écrit, sur les murs, elle a beaucoup écrit dans la lumière de la grande salle, réfractée par l'étang."
"Tu es mon lecteur, Paulo. Puisque je te le dis, je te l'écris, c'est vrai."
"Son visage, ce trou, au bout du corps sans yeux."
"J'ai vu le ciel avec le soleil à travers les arbres eux aussi tués dans le champs, mutilés, les arbres noirs."
"... ils étaient des lieux de passage obligés vers l'inconnu des sentiers et des sources et des bords de mer ou si on voulait se protéger des loups."
"Et elle, la sorcière des forêts de Michelet, elle a dû être étripée, brûlée vive. Violée. Assassinée."
Marguerite Duras (Écrire)
"Il se présente aussi souvent comme le disciple moderne de Rousseau, il le lit comme l'instituteur et non seulement comme le prophète de l'ethnologie moderne. On pourrait citer cent textes à la gloire de Rousseau. Rappelons néanmoins, à la fin du Totémisme aujourd'hui, ce chapitre sur 'Le totémisme du dedans': 'ferveur militante' 'envers l'ethnographie', 'clairvoyance étonnante' de Rousseau qui, 'mieux avisé que Bergson' et 'avant même la découverte du totémisme' a 'pénétré dans ce qui ouvre la possibilité du totémisme en général', à savoir : La pitié, cette affection fondamentale, aussi primitive que l'amour de soi, et qui nous unit naturellement à autrui : à l'homme, certes, mais aussi à tout être vivant."
"... la présence est à la fois promise et refusée. La parole que Rousseau a élevée au-dessus de l'écriture, c'est la parole telle qu'elle devrait être ou plutôt telle qu'elle aurait dû être. Et nous devrons être attentif à ce mode, à ce temps qui nous rapporte à la présence dans la collocution vivante. En fait, Rousseau avait éprouvé le dérobement dans la parole même, dans le mirage de son immédiateté..."
Jacques Derrida (De la grammatologie)
"Tal ligação aliás faz parte da experiência cotidiana de todos os ouvintes contemporâneos, não raro às voltas com um teminha absolutamente detestável do rádio, que no entanto se agarra aos nossos ouvidos com a força de um mau-olhado... Os portugueses foram os primeiros, na época moderna, a estabelecer relações comerciais e de conquista com as culturas negras da África. E chamaram de feitiço, isto é, coisa feita, aos objetos, bonecos, oferendas, etc. aos objetos que os africanos empregavam com finalidades mágicas e religiosas. Essa palavra portuguesa deu origem ao francês 'fétiche', ao inglês 'fetich', ao alemão 'fetichismus' utilizado por Marx na famosa quarta seção do primeiro capítulo de o capital... Vemos, portanto, que as palavras feitiço e fetichismo têm sua própria origem no contato inicial entre portugueses e africanos."
Carlos Sandroni (Feitiço Decente)
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Main Hall (according to the tenor, true intent & meaning of the text, with free ingress, egress, & regress):
Fundo:
- "instantes-já" (da "quarta dimensão"), "átomos do tempo", "substrato último", "vibração última", "energia", "estilhaços de X" (9, 11, 80), (cf. "como começar pelo início, se as coisas acontecem antes de acontecer?", A Hora da Estrela, Rocco, 1998: 9);
- "o it", "transcendência dentro de mim" ("pensamento que uma ostra tem"), "o it vivo" ("é o Deus"), "elemento puro", "material do instante do tempo", "Eu é", "ribombo oco do tempo", "aquilo", "X" ("tenho medo do seu diapasão") (30, 34, 37, 79), (cf. "eu era uma menina muito curiosa e, para minha palidez, eu vi; eriçada, prestes a vomitar, embora até hoje não saiba ao certo o que vi; mas sei que vi; vi tão fundo quanto numa boca, de chofre eu via o abismo do mundo... como se um fígado ou um pé tentassem sorrir", Os Desastres de Sofia) ("é que olhei demais para dentro de...", A Quinta História), ("Ana se agarrou ao banco da frente, como se pudesse cair do bonde, como se as coisas pudessem ser revertidas com a mesma calma com que não o eram", Amor), ("o explorador tentou sorrir-lhe de volta, sem saber exatamente a que abismo seu sorriso respondia", A Menor Mulher do Mundo), ("uma coisa branca espalhara-se dentro dela, branca como papel, fraca como papel, intensa como uma brancura", O Búfalo);
- "aura do corpo em plenilúnio" (74);
- espelho, água (77-80);
Meio:
- "entrelinha", "signos", "gesto", "pintar", "mergulho na matéria da palavra", "onomatopéia", "convulsão da linguagem", "atrás do pensamento", "parar de raciocinar", "verdade latente", "incompreensão", "vida liberta do entendimento", "o fundo da existência", "ao escrever lido com o impossível", "se não compreendo o que escrevo a culpa não é minha, tenho que falar porque salva" (21, 24, 27, 33, 40, 53, 66, 72, 85), (cf. "esta história será feita de palavras que se agrupam em frases e destas se evola um sentido secreto que ultrapassa palavras e frases", A Hora da Estrela, Rocco, 1998: 15), ("tesouro que se disfarça, que está onde menos se espera", "numa solidão sem dor, não menor que a das árvores, eu recuperava inteira, a ignorância e a sua verdade incompreensível", Os Desastres de Sofia), ("o que eu não sei do ovo é o que realmente importa", "as pessoas que chamam o ovo de branco, essas pessoas morrem para a vida", O Ovo e a Galinha);
- "sânscrito", "língua anterior ao sânscrito" (43, 45);
- "parambólica", "não existe a palavra espelho" ("um único espelho é uma infinidade de espelhos"), "cada um de nós é um símbolo que lida com símbolos" (74, 77, 80);
Noite:
- "caverna de terror e das maravilhas" ("lugar de almas aflitas"), "gruta" ("com seu miasma"), "mal", "missa negra", "vida latejante infernal", "perigo de morte de alma", "noite" ("entorpecimento, azinhavre e visgo", "mais longa que a vida"), "marca de Satã" ("a mão verde e os seios de ouro"), "escuridão feérica" ("caldo de cultura"), "cercam-me criaturas elementares, anões, gnomos, duendes e gênios, sacrifico animais para colher-lhes o sangue de que preciso para minhas cerimônias de sortilégio", "a planta maldita que está próxima de se entregar ao Deus, quanto mais maldita mais até o Deus", "as inscrições cuneiformes quase ininteligíveis falam de como conceber e dão fórmulas sobre como se alimentar da força das trevas, falam das fêmeas nuas rastejantes", "intensidade do crepúsculo" (16, 20, 25, 26, 28, 38, 41, 42, 76), (cf. "a vida come a vida", A Hora da Estrela, Rocco, 1998: 85), ("no tronco da árvore pregavam-se as luxuosas patas de uma aranha; a crueza do mundo era tranquila", "com uma maldade de amante, parecia aceitar que da flor saísse o mosquito, que as vitórias-régias boiassem no escuro do lago", Amor);
- "existo de um modo febril", "trabalho enquanto durmo", "convalescença macia" ("de algo que poderia ter sido absolutamente terrível"), "mina faiscante e sonambúlica", "bola de cristal", "campo de meditação", "sono criador" ("que se espreguiça através das veias") (22, 66, 69, 80), (cf. "a prece mais profunda é a que não pede mais", Os Desastres de Sofia), ("um cego mascando chicles mergulhava o mundo em escura sofreguidão", Amor);
- "rainha dos medas e dos persas", "Diana caçadora" (24, 26);
- "dama da noite" ("perfume de lua cheia", "fantasmagórica", "da esquina deserta e em trevas e dos jardins de casas de luzes apagadas", "assobio no escuro", "o que ninguém aguenta") (44, 46, 59);
Vida Sobrenatural:
- "mítico, fantástico", "sobrenatural" ("sou assombrada pelos meus fantasmas"), "os bichos me fantasticam" ("são o tempo que não se conta"), "os seres vivos (que não o homem) são um escândalo de maravilhamento", "mistério doido" (perfume da rosa), "taja" (planta que fala da Amazônia, "uma vez entrou tarde da noite em casa e quando estava passando pelo corredor ouviu a palavra 'João'"), "estou transfigurando a realidade", "eu não disse que um dia ia me acontecer alguma coisa?", "e a parte divina das borboletas é mesmo de dar terror", "as flores são assombradamente delicadas como um suspiro de alguém no escuro" (29, 40, 48, 56, 60, 65, 67, 92), (cf. "existir é coisa de doido, caso de loucura, porque parece, existir não é lógico", A Hora da Estrela, Rocco, 1998: 20), ("... não só chegou a essa conclusão, como esta transformou sua vida em mais alargada e perplexa, em mais rica, e até supersticiosa; cada coisa parecia o sinal de outra coisa, tudo era simbólico, e mesmo um pouco espírita dentro do que o catolicismo permitiria", Os Obedientes) ("fora atingida pelo demônio da fé", Amor);
- "tigre" ("lambo o meu focinho depois de ter devorado o veado"), "negra pantera lustrosa" ("andava macio, lento e perigoso"), "gata parindo" ("comi minha própria placenta"), "planta carnívora" ("que lamenta tempos imemoriais"), "pantera negra enjaulada" ("uma vez olhei bem nos olhos, ela me olhou bem nos olhos, transmutamo-nos"), "tigre" ("lambo uma das patas"), "tigre" ("com flecha imortal cravada na carne") (25, 28, 34, 41, 80);
- "morcegos" ("ratos com asas em forma de cruz"), "insetos, sapos, piolhos, moscas, pulgas e percevejos", "corrupta germinação malsã de larvas", "seres putrefatos em decomposição", "ouço o canto doido de um passarinho e esmago borboletas entre os dedos, sou uma fruta roída por um verme", "chusma dissonante de insetos", "salamandra", "anjo aleijado" (15, 41, 67, 70, 73);
- "gosto é das paisagens de terra esturricada e seca, com árvores contorcidas e montanhas feitas de rocha e com uma luz alvar e suspensa", "oh, vento siroco" (39, 52);
- formiga, abelha e rosas ("são elas") (57, 61, 73);
Morte Impossível:
- "a morte apaga os traços de espuma do mar na praia", "sou minha própria morte" ("ninguém vai mais longe"), "quero morrer com vida", "há uma prece profunda em mim que vai nascer não sei quando", "éclater", "alguma coisa minha que no entanto fica inteiramente fora de mim", "eu mesmo estátua a ser vista de noite", " quem não é perdido não conhece a liberdade e não a ama", "a morte é o impossível e o intangível" (29, 39, 46, 67, 72, 84), (cf. "... não falei e nem falarei em morte e sim apenas um atropelamento", "que não significa sequer desastre", "encontro consigo", "tempo de morangos" A Hora da Estrela, Rocco, 1998: 80, 84, 86), ("morrer é ininterrupto", Os Desastres de Sofia), ("e tinha muito passarinho que voava do abismo para a estrada", Viagem a Petrópolis), ("antes de se deitar, como se apagasse uma vela, soprou a pequena flama do dia", Amor);
Ordenamento:
- "a ausência de Deus é um ato de religião" (estou precisando de Deus "mais do que a força humana"), "Ordem", "Deus é no passado que se soube, é algo que já se sabe", "duas assimetrias encontrar-se-ão na simetria", "o material criado é religioso", "síntese", "simetria utópica", "um pedaço mínimo de espelho é sempre o espelho todo", "mecanicismo" ("objeto que grita") (55, 64-65, 73, 76-77, 86);
- "o oblíquo da vida", "nós somos de soslaio", "eu falo bem baixo para que os ouvidos sejam obrigados a ficar atentos" (68, 70), (cf. "apareceu portanto um homem magro de paletó puído tocando violino na esquina", A Hora da Estrela, Rocco, 1998: 82), (cf. "ser matéria de Deus era a minha única bondade", Os Desastres de Sofia);
***Everything from Clarice Lispector, Água Viva (Rio de Janeiro: Rocco, 1973);
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Novo: Fernando Zalamea sobre Clarice:
"... los protagonistas de las novelas y los cuentos de Lispector adquieren una visión verdadera del mundo cuando consiguen recorrer una vía negativa alterna, donde se cuidan con especial atención los polos aparentemente “menores” de las oposiciones mencionadas, con sus residuos asociados. En la entrelínea–situada en el duermevela, en las fronteras de lo real, en las orillas de la materia, en los límites de lo visible, en las oscilaciones del flujo– es donde se encuentra, residualmente, el espectro de la comprensión. Una portentosa cirugía de la palabra permite que Lispector contemple descarnadamente algunas antinomias cruciales: ¿cómo decir lo que no se puede decir, cómo entender lo ininteligible, cómo ver en la oscuridad, cómo geometrizar el vacío, cómo sentir lo neutro?"
"La creación –ese verdadero movimiento de los seres humanos– emerge, entonces, paradójicamente, desde lo residual, gracias a la ceguera y a la imposibilidad de hablar. La seguridad y la fortaleza se obtienen mediante la anulación de la luz y de la palabra. La plena fusión del yo con lo “neutro”... En La manzana en la oscuridad (1961) –tal vez la mayor de sus novelas junto con La pasión según G.H.–, Lispector se enfrenta de lleno con el claroscuro, los límites de lo expresable y las fronteras de lo ininteligible. Una incesante angustia de captar el mundo a través de sus residuos recorre la narración. La novela relata la historia de Martim, quien, luego de asesinar a su esposa, anula completamente su personalidad e intenta reconstruir, desde la nada, su percepción y su sensibilidad. El hombre intenta primero acceder directamente al “otro lado de la realidad”, a las piedras, las plantas y los arbustos del desierto que recorre en estado catatónico después del crimen, pero cuando se enfrenta a la “respiración misteriosa de los animales mayores”, en un “establo [...] que latía como una vena gruesa”, Martim accede a una verdadera revelación de lo vivo. Si las “piedras” concretas de lo real parecen escapársele, una “gran amalgama tranquila” lo une, no obstante, con los animales. La ausencia de racionalidad, la capacidad para orientarse en la oscuridad, el cuidado de los modos de no entender, la ceguera, la evasión de las puertas de la comprensión permiten que Martim olvide su ser y se compenetre con su en- torno. Los residuos, con sus vecindades cercanas a la Nada, abren las puertas del conocer. El “no ser” es, en realidad, la “vasta noche de un hombre” y sólo un “conocimiento ciego” nos permite acceder a él. La visión desde la no visión, aunque revienten los ojos de Martim, le permite intuir y tocar lo inerme, lo impalpable, lo inefable..."
"Nos encontramos, así, ante una suerte de placa en negativo del mito platónico de la caverna. Mientras que en la parábola de Platón las sombras concretas de la apariencia no son más que un pálido reflejo de la luz de las Ideas, en la novela de Lispector las luces del lenguaje no son más que un inconveniente fulgor que esconde el fondo oscuro de lo neutro. Aunque ambas construcciones coinciden en develar las inevitables limitantes de nuestra comprensión, la inversión de la luminosidad permite “habitar” una nueva unión... La coincidentia oppositorum de Nicolás de Cusa –“armonía hecha de belleza y horror y perfección y belleza y perfección y horror”– puede llegar a concretarse, así, en el vacío del hombre cuando éste se despoja de su reflexividad, olvida el lenguaje y transita residualmente por el revés del entendimiento. La antinomia es, de nuevo, magnífica y sugerente: la escritura de Lispector alcanza un tal poder hipnótico que el lector llega a intuir a veces, en breves instantes de revelación, lo que puede ser la supresión del lenguaje desde la misma cadencia recargada de la palabra."
"... en la entrelínea, en el intersticio, en el residuo es donde se revela la respiración continua del mundo... Al romper los límites del individuo, se extienden los límites del mundo, y, en esa ruptura de la envoltura, en la frontera permeable del interior y el exterior, se sitúa realmente el entendimiento. La entrelínea permite acercarse, entonces, a lo ininteligible, puesto que la palabra y la cosa se desgarran –ambas– simultáneamente, y en sus respectivos residuos es como pueden aproximarse mejor la una a la otra."
***Fernando Zalamea, Las Selvas Profundas, Paisajes de Proteo (México: Siglo XXI Editores, 2013);
See also:
- Spooky Blue;
And also: