Saturday, August 22, 2015

Falls in Paraná/Argentina

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Photograph taken by A/Z in Iguazu National Park, available with other photographs at Fine Art America. 
Jean-Michel Basquiat, Detail from The Pilgrimage (1982), image from Leonhard Emmerling's Basquiat.
Mondrian, Tableau n. 3 (1913), Stedelijk Museum, photograph taken by A/Z.
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"... al no encontrar con la facilidad requerida por la absoluteza de su apriorismo, Hegel desconfía y nos otorga su desdén. Busca en la América, el espíritu objetivo, y lo que encuentra, como en el Génesis, es el aliento de Dios rizando las aguas, como una piedrecilla lanzada de canto sobre la tranquila laminación líquida..." Lezama Lima).
"Nous ne devons pas regarder par delà la nature, nous devons plutôt voir à travers elle... ce sont les choses les plus extérieures qui nous mènent à conscience de notre être, c'est-à-dire aux choses les plus intérieures..." (Piet Mondrian, traduction par Michel Sephour).
"L'impératif statique, condition terrestre... où la gravitation impose un mouvement fini, conduit le mouvement vers sa fin en plaçant sous l'hégémonie d'un autre. Le plus fort tire tout à lui. Ce plus fort est animé de son côte par le mouvement et entraîne sa victime dans sa course. Mais l'opprimé ne s'en aperçoit pas directement; il lui faut voir comment aménager son joug, s'y créer peu à peu une aire de mouvement suceptible de lui assurer une sorte d'autonomie. Ainsi croissent les plantes, marchent ou volent les bêtes ou l'homme" (Paul Klee, traduction Pierre-Henri Gonthier)
"... rouge-violet, rouge, orangé, jaune, vert, bleu, bleu-violet (indigo)... quelque chose d'insolite aux deux extrémités de la série... les deux moitiés doivent faire un tout, les deux violets un seul violet, et les deux bouts mystérieux de la chaîne se souder en circuit infinit, sans commencement ni fin... L'arc-en-ciel n'était qu'un reflet d'une totalité inconnue auparavant..." (Paul Klee, traduction par Pierre-Henri Gonthier).
"Die Natur soll der sichtbare Geist, der Geist die unsichtbare Natur sein" (Schelling).

An obscure poem by Murilo Mendes:
Passaros noturnos
Ao longe balançam o canto obscuro
Pois nas grutas profundas se encolheram
E nos maciços de árvores.
Pela noite seu canto oblíquo
Na soledade do silêncio
Configura-os a bichos desconhecidos,
São provisoriamente outros bichos
Nascidos sem lei nem forma
Do intocado abismo e da folhagem.
Pássaros fantasmas,
Pássaros noturnos
Anunciadores de uma vida livre
Cujo segredo ao nosso ouvido escapa,
Uma vida de ignota relação.

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